Le manoir se dressait, pénible, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les sentiers envahies par les ronces, une composition de verre et de métal résistait encore au générations : une serre oubliée, discrète postérieur un mur de végétation sauvage. https://dallasuedzu.like-blogs.com/33569821/le-jardin-des-obscurcissements-statiques