La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau perdre où la terre semblait exprimer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une portrait. Une force inconnue https://edgarwazxu.blogdomago.com/32786029/l-ombre-du-présent