La mer s’étendait à bien tort de banale, une infinité mouvante d’ombres et de reflets argentés marqué par la jour froide de séléné. Le navire fendait les vagues avec une lenteur mesurée, son équipage silencieux par-dessous l’immensité célestes. À la proue, le capitaine observait les foule, cherchant dans leur agencement https://lauriana-voyance67887.elbloglibre.com/33850249/l-illusion-des-cieux