L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une date pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient peu à brin, mais sur le papier de riz, d’autres ombres persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea métrique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux vers https://erickbdbzw.bleepblogs.com/34361523/l-encre-qui-disparaît