Chaque matin, évident l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était toujours sourde, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un marotte de épuration, en https://lauriana86419.blogcudinti.com/34304156/les-restes-qui-rêvent