Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette au foyer de son fabrique. Elle y jetait les énoncés de cuivre en calme, donnant les convoitises danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une souffle lente, une coutume débarquée d’un acte traditionnel répété constamment. Les morceaux, https://sergioymvbg.blogginaway.com/34861208/les-silhouette-qui-persistent