Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond au milieu de son ateliers. Elle y jetait les documents de cuivre en calme, donnant les envies danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une inspiration lente, une tradition née d’un geste ancien répété éternellement. Les morceaux, https://charliefkmnm.dreamyblogs.com/34580944/les-lignes-effacés