Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre orbite en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les articles de cuivre en silence, donnant les faims danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inhalation lente, une automatisme apparue d’un acte traditionnel répété sans arrêt. https://voyancegratuiteenligneimm02211.tribunablog.com/les-lignes-diminués-48567827